En France, les violences conjugales et familiales font encore trop de victimes. Depuis janvier 2025, 99 femmes ont été tuées. Cela représente un décès tous les deux jours. Ma Liberté de Parler, fondée par Aline Peugeot et Émilie Willame, veut agir face à ce constat. L’association, parrainée par Romain Debaillie Nowak, se donne une mission : briser le silence et redonner une voix aux victimes.
Une initiative née d’un constat alarmant
Chaque année, de nombreux drames rappellent l’absence de protection suffisante. Pourtant, les institutions ont pour rôle de défendre les plus vulnérables. Ainsi, Ma Liberté de Parler se positionne comme un relais citoyen. Elle veut créer un espace d’écoute, de soutien et de sensibilisation, pour ne plus laisser les victimes seules.
Offrir un espace d’expression essentiel
L’association recueille et diffuse des témoignages. En effet, elle prévoit une chaîne YouTube, des conférences et des événements publics. Grâce à ces actions, les victimes peuvent enfin être entendues. Leur parole devient un levier de changement et de sensibilisation.
La parole comme outil de résilience
Selon Aline Peugeot, témoigner est une étape importante pour guérir. Romain Debaillie Nowak, marqué par le meurtre de sa mère, en est convaincu. Ensemble, ils démontrent que l’expression peut transformer la douleur en force collective. Ainsi, Ma Liberté de Parler place l’humain au centre de sa démarche.
Un réseau de professionnels engagés
L’association veut aussi fédérer psychologues, psychiatres et praticiens. Son objectif est clair : proposer un accompagnement gratuit, confidentiel et bienveillant. De plus, les partenaires bénéficieront d’une visibilité sur les supports de l’association. Ce fonctionnement crée un cercle vertueux entre aide et engagement.
Une vision collective et déterminée
Avec l’expérience d’Aline Peugeot, la volonté d’Émilie Willame et le témoignage de Romain Debaillie Nowak, Ma Liberté de Parler veut devenir une référence. Elle défend une société plus juste, où la parole protège et répare.