LEGALSUP, Une réponse humaine face au “tout-IA”
Près d’un Français sur deux consulte Internet avant de solliciter un avocat. Cette pratique peut sembler pratique, mais elle entraîne souvent des réponses incomplètes ou trompeuses. Un rapport automatisé peut minimiser un risque, une donnée peut être mal interprétée, et un contexte humain est souvent ignoré.
C’est pour combler ce fossé entre vitesse technologique et réalité juridique qu’a vu le jour LEGALSUP.
LEGALSUP, une alternative aux legaltechs standardisées
Le numérique au service de l’expertise humaine
Contrairement aux plateformes qui misent sur l’automatisation totale, LEGALSUP place les professionnels du droit au centre du processus. Chaque dossier est analysé non comme une suite de cases à cocher, mais comme une situation unique.
La plateforme s’adresse à la fois aux particuliers et aux entreprises. Elle combine des outils numériques performants et une analyse finale confiée à des avocats, notaires ou commissaires de justice.
Un modèle hybride : rapidité et personnalisation
Le fonctionnement repose sur deux étapes.
- Un premier temps numérique : un questionnaire en ligne structure les informations et prépare l’analyse.
- Un second temps humain : un juriste qualifié interprète les données et prend en compte des facteurs invisibles pour l’IA, comme une coutume locale ou un contexte familial.
Ce modèle garantit un accès rapide, sans sacrifier la pertinence ni la fiabilité.
Quand l’expérience révèle les limites de l’automatisation
Une évolution née du terrain
Au lancement en 2022, LEGALSUP proposait un logiciel d’évaluation des risques juridiques basé sur un code couleur. Mais les résultats ont vite montré leurs limites : une mauvaise saisie suffisait à fausser l’analyse.
Cette expérience a conduit à une conviction forte : le numérique est utile seulement s’il reste encadré par l’humain.
LEGALSUP, une différence claire dans un marché saturé
Les legaltechs se multiplient, mais beaucoup se contentent de fournir des formulaires ou de jouer les intermédiaires. LEGALSUP se distingue en garantissant que chaque conseil repose sur l’expertise d’un professionnel réglementé.
L’utilisateur n’est pas seulement informé, il est accompagné. Cette approche marque une rupture nette avec la logique de standardisation.
Une vision tournée vers l’avenir
Répondre aux besoins des entreprises et des particuliers
LEGALSUP propose une digitalisation responsable du droit. Pour les entreprises, cela signifie des décisions stratégiques mieux sécurisées. Quant aux particuliers, cela apporte l’assurance d’un accompagnement compréhensible et fiable. Tandis que les juristes y voient l’opportunité de valoriser leur savoir-faire dans un cadre innovant.
Une communauté autour du droit éthique
Au-delà de son service, LEGALSUP veut fédérer une communauté de professionnels. L’objectif : défendre une digitalisation raisonnée, accessible mais toujours qualitative.

Une fondatrice engagée : Vanessa Koum Dissaké
Avocate au Barreau de Paris, docteure en droit et enseignante à l’Université Paris 8, Vanessa Koum Dissaké est la fondatrice de LEGALSUP. Son expérience au Havre puis à Paris, ainsi que son projet pédagogique AideDroit, lui ont permis de mesurer les limites des dispositifs automatisés et de concevoir une alternative plus humaine.